Un témoignage authentique sur l’internat dans les lycées des années comprises entre l’après-guerre et mai 68, c’est ce qu’a écrit Michel Souladié, pensionnaire au lycée Gambetta de Cahors de 1960 à 1967. Il nous y raconte avec son émotion de gamin de 10 ans sa surprise devant des classes et des dortoirs bondés, une discipline impitoyable, les règles imposées dans un univers carcéral uniquement masculin avec ses dérives… Et, en contrepartie une solidarité jamais plus retrouvée et les petites ou grosses blagues inventées par une imagination fertile et toujours en éveil. Les dimanches la liberté provisoirement retrouvée en famille décrit le milieu rural de l’époque avec ses obligations et ses jeux, bouleversés par l’arrivée de la télévision. Des témoignages enthousiastes d’anciens font mieux que de longs discours : Un commentaire de cet ancien n’ayant pas connu l’auteur : « J’ai acheté votre livre et je l’ai lu dans la foulée, goulument. Je me suis régalé. J’ai retrouvé les lieux et les personnages très bien campés… Bref, votre livre m’a permis de passer un moment de réel plaisir… Je le dis parfois à mes enfants et surtout petits enfants, cette période de ma vie, bien qu’elle fût rude, fut aussi formatrice… » Quand on apprend que Jean-Louis C. en tant que Secrétaire Général Adjoint d’académie a travaillé deux ans avec le ministre de l’Education Nationale. Si les collégiens (nes) ou lycéens (nes) actuels(les)veulent découvrir ce monde qu’ont connu leurs parents ou grands-parents, ou que les anciens aient envie de revivre cette époque, un site internet est a leur disposition : www.edilivre.com /doc/ 942291 pour se procurer le livre