Didier NOULET
Biographie
Courte biographie :
Je suis né à Paris dans le quartier du faubourg Saint Antoine. Je n’en ai pas gardé l’accent du faubourg d’autant que mes parents sont très vite partis dans les Ardennes où j’ai passé mon enfance. De cette région, j’ai gardé le souvenir d’un pays rude et attachant.
Vers l’âge de dix ans, j’ai quitté cette région pour revenir en banlieue parisienne où j’ai passé mon adolescence. Ce fût, comme pour beaucoup, l’époque des mes premiers émois amoureux et de l’éveil à la culture. C’est ce retour qui est probablement le déclic qui me fait écrire aujourd’hui.
Après des études techniques, ma vie professionnelle m’a conduit de la Normandie, à l’Alsace en passant par le Loiret et la Lorraine… Régions où j’ai gardé des amitiés sincères et durables. Aujourd’hui, j’habite dans le Tarn et Garonne où je m’efforce d’entretenir le goût de la lecture en participant à l’organisant d’un salon du livre et de conférences à thèmes littéraires.
Météore
Et l’écriture dans tout cela ?
Mon premier roman digne de ce nom s’intitule Météore.
C’est une histoire d’amour dans un univers glacé. Il est paru aux éditions « manuscrit.com », je devrais dire disparu, tant cet ouvrage m’a échappé et vogue sur le net en toute autonomie. Le temps a passé et j’ai fait ma propre édition, bien moins chère que l’ancienne.
Quatrième de couverture Météore
« Allons-nous vers le siècle des catastrophes comme le prédisent les chantres de l’apocalypse ? Les tsunamis, les tremblements de terre, les dérèglements climatiques qui se succèdent à un rythme inquiétant leur donnent sinistrement raison. Face à ces forces déchaînées l’humanité saura-t-elle résister à l’irrationnel et à la superstition ? Comme à l’époque de la mort noire, les peurs moyenâgeuses reléguées dans les poubelles de l’histoire reviendront-elles hanter notre quotidien ? Plus que jamais tous les futurs sont possibles et ce roman en est une illustration parmi tant d’autres. L’auteur nous emmène dans un futur terrible pour une humanité au bord de l’extinction mais où l’amour d’une femme et d’un homme saura montrer le chemin de l’espoir et de la rédemption. »
Fort de mon premier succès, (écrire un livre est déjà un succès sur soi) et conscient que la science fiction (bien que Météore n’en soit pas) ne plaisait qu’à un nombre limité de lecteurs. J’ai décidé, en lisant un article disant que Bakounine était venu au Locle en 1850, d’écrire l’histoire d’un petit paysan horloger suisse vivant à cette époque. Pari un peu fou mais je vivais en Alsace et la Suisse n’était qu’à quelques kilomètres.
Ce qui ne devait faire qu’un livre me conduisit à l’écriture d’une saga comportant trois volumes : La galette de Goumeau, les larmes de coton et le livre d’hyppase. Tous trois parus dans une maison d’édition de Mulhouse.
Il serait trop long de vouloir résumer ici tous les aspects de cette histoire, mais la saga se déroule de 1850, date du dixième anniversaire du « héro » Paul Jacquet, à 1870, lors de la commune de Paris, où ce dernier doit fuir la police impériale. Elle décrit les conditions de travail des ouvriers de l’horlogerie ainsi que celles des filatures de coton Mulhousiennes. Un volet traitant du paternalisme protestant m’a même conduit à intervenir lors d’un colloque organisé par l’Université d’Amiens. J’y parle également des idées qui traversèrent ce XIX siècle (l’Anarchie à la Proudhon, les Saint Simoniens,…) et bien d’autres choses encore, sans être pesant. C’est d’abord l’histoire d’une famille paysanne, avec ses joies, ses peines, ses passions, confrontée aux changements de la modernité.
L'envers de la marotte
Avec l’envers de la marotte j’ai commencé une nouvelle série que j’ai intitulée « Les chroniques de la mère folle »
C’est un polar alchimique se déroulant à Dijon, à notre époque, mais où l’histoire n’est jamais bien loin. Ce roman est édité aux éditions « Les Bords du Lot ».
Avec l’envers de la marotte j’ai commencé une nouvelle série que j’ai intitulée « Les chroniques de la mère folle »
C’est un polar alchimique se déroulant à Dijon, à notre époque, mais où l’histoire n’est jamais bien loin. Ce roman est édité aux éditions « Les Bords du Lot ».
Quatrième de couverture de l'envers de la marotte
« Au Moyen âge, en Bourgogne, la Mère folle était le nom d’une société carnavalesque. On la représentait comme une femme assise, accouchant de fous qui sortaient en nombre du dessous de sa robe. C’était il y a longtemps, du moins c’était ce que pensait Robert Landry dans sa chère ville de Dijon. Journaliste au Lien Public, il aimait faire éclater les scandales et dénoncer les abus au risque parfois de perdre sa place.
N’aurait-il pas mieux fait pourtant de rester au lit cette nuit là, plutôt que d’aller à la morgue pour photographier le tatouage d’une marotte sur le bras d’un cadavre démembré ?
S’il avait su, se serait-il lancé dans une enquête dont l’origine se perd dans la nuit des temps ?
Landry va s’apercevoir trop tard, que sa propre folie va l’emporter au-delà de toute déraison. »
Quantum Mélodie
Le deuxième volet des chroniques de la mère folle s’intitule « Quantum Mélodie ». Changement d’univers garanti où il est question de mondes virtuels, de guerres des ressources, d’ordinateurs quantiques et bien sûr d’amour rédempteur…
Quatrième de couverture :
« Le virtuel appartient de plus en plus à notre quotidien. L’argent, les biens de consommation et nous-mêmes sont déjà présents dans un monde de moins en moins fictif. Vincent est comme tous ces jeunes dont la vraie vie est déjà de l’autre côté. A une Terre ravagée et polluée, il préfère le monde d’Alixia fait de mystères, de magie et de beauté, où l’amour n’a semble-t-il pas de limite. Mais la folie des hommes avec ses guerres et ses excès a déjà perverti ce monde merveilleux. Le temps est venu pour Vincent de choisir entre ses deux réalités. »
Nuit et Brouillard
Nuit et Brouillard est mon dernier roman policier qui se déroule dans une petite ville du sud-ouest de la France appelée Castelmaure.
« Nuit et Brouillard est la traduction de l’expression allemande, Nacht und Nebel qui signifie disparaître. C’était le surnom de la directive qui régissait le statut, des prisonniers des camps allemands que les S. S. mettaient au secret et dont beaucoup disparaissaient sans laisser de trace.
Lorsqu’Antoine Aubiac, jeune écrivain, revient à Castelmaure, il est à cent lieues d’imaginer qu’un roman écrit à la libération, par un auteur inconnu, va changer sa vie déjà chaotique. L’histoire qui y est racontée parle des excès commis pendant l’occupation et d’un trésor récupéré par la résistance lors de la débâcle de l’armée Allemande. Mi-histoire, mi-légende, beaucoup d’habitants de la ville espèrent en secret retrouver cet or qui dort quelque part dans les entrailles de la cité. Antoine va résoudre ce mystère en éclairant la nuit et en dissipant le brouillard au risque de perdre la vie ainsi que celles de ceux qu’il aime. »